Looks like nice pictures
J'étais soldat de Napoléon! - 200 ans 200 objets
Xavier Aiolfi, Vincent Bourgeot
ESPRIT DU TEMPS, 10/2021
ISBN: 9782847955408
A l'époque napoléonienne on se battait en grande tenue, le camouflage n'existait pas, l'essentiel était d'être beau devant l'ennemi, devant la mort ... Cet ouvrage n'a pas pour vocation de présenter un travail didactique, encore moins technique ou purement historique, il reste avant tout un livre destiné au plaisir, et à la découverte. Il est pensé, conçu et réalisé dans le seul but de toucher tous les lecteurs, spécialistes ou non de l'histoire.
Il permet de découvrir les objets accompagnant journellement la vie du soldat de Napoléon, que ce soit dans la misère ou dans le faste, dans les plaisirs ou dans leurs contextes de guerre. Autres temps, autres moeurs ! Consacré exclusivement à la période du Consulat et de l'Empire, cet ensemble (uniformes, coiffures et équipements) convie le lecteur à un voyage à travers le temps, en espérant que ces artefacts glorieux fassent prendre conscience aux français combien l'histoire de la France fut grande.
Preview
Extraits J'étais Soldat De Napoléon (calameo.com)
A l'époque napoléonienne on se battait en grande tenue, le camouflage n'existait pas
which is to say - a load of crap, of course soldiers did use some sort of camouflage, like Saxon grenadiers turning their bearskin caps back, to avoid being picked up, Jäger and other light units did use green uniforms, black leather belts, or buff ones, blackened or brownd rifle barrels and so on.
Parade dress was thrown away to make the carrying load lighter, white clad officers using blue surtouts or grey ones, gorgets being put in a cover of cloth.
The photos may be nice, Bourgeot is renowned for that, is there any pre view available?
1812 « Le 48e avait un habillement neuf et très soigné à l’entrée en campagne. Dans les plaines de la Lithuanien, le soldat, excédée chaleur, jeta la majeure partie de cet habillement, ne conservant que la capote, et le pantalon de toile. It avait à Wilna une réserve d’habilement, dont une faible part fut distribuée, et le reste laissée dans la ville. » Fußnote, S. 489 Le Spectateur Militaire, volume XXIX, 15e année, Paris, 1840, S.481 – 493, Campagne de Russie, Rapport Historique du 48e Régiment d’infanterie de Ligne, remis au général Comte Ricard, Commandant la 2e Division du 1er Corps Blaze « The day after the first bivouac of a campaign saw an enormous quantity of breeches ; black and white gaiters, collars ; and stockings which littered the ground where we had slept – making it look as if the enemy had surprised us during the night, and we had fled clad only in our shirts.(…) Formerly the soldiers was issued a pair of breeches free, and seldom wore them; he had to pay for a pair of trousers which he wore all the time. (…) But at the first bivouac at the start of a campaign, everyone emptied his pack of everything but the bare essentials, discarding everything else.” Page 34 Military Life Under Napoléon by Elzéar Blaze, translations and notes by John Elting, Emperor’s Press, Chicago, 1995